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  • Signer la pétition — Soutenir les PAEJ de l'Essonne
    Pétition en ligne pour maintenir ouvert les Points Accueil Ecoute Jeunes de l’Essonne
    Thu Oct 24 00:07:16 2013 - permalink -
    - http://www.paej-essonne.com/signer-la-petition/
    psychanalyse psychologie
  • Les grilles macro-typo sur le web ? Facile ! – Paris Web 2012
    On s’entend dire depuis un moment que les grilles sur le web, c’est le bien ; qu’elles facilitent la lisibilité et qu’elles apportent harmonie et structure. Tout cela est vrai ! Face à la pléthore de frameworks qui existent sur le marché
    Sat Sep 21 19:03:25 2013 - permalink -
    - http://grilles-faciles.alwaysdata.net/
    webdesign typographie
  • La tête dans le Flux ! - Un reset “responsive” pour les images.
    Il  est devenu assez fréquent d’employer max-width: 100% pour forcer le rapetissement des images lorsque la taille de fenêtre se réduit. Cependant, cela ne suffit pas toujours et j’ai récemment découvert une combinaison de trois propriétés très efficaces.
    Sat Sep 21 19:02:07 2013 - permalink -
    - http://blog.goetter.fr/post/13447625254/un-reset-responsive-pour-les-images
    css webdesign
  • QU’EST - CE QU’UN DISPOSITIF? L’ANALYTIQUE SOCIALE DE MICHEL FOUCAULT
    La notion de dispositif est déterminante dans l’analytique foucaldienne de la
    société. Et pourtant, son étude demeure négligée par la récepti
    on internati
    o-
    nale. Après avoir discuté brièvement des difficultés rencontrées avec la tr
    a-
    duction du terme de dispositif par Dreyfus et Rabinow dans
    Beyond Struct
    u-
    ralism and He
    r
    meneutics
    , l’article développe une analytique sociale à partir
    de la pensée «
    di
    sp
    o
    sitionelle
    » de Foucault. L’esquisse de l’histoire du terme
    de dispositif permettra, en outre, de mieux saisir la pertinence de son usage
    par Foucault
    Sat Sep 7 11:12:48 2013 - permalink -
    - http://ir.lib.uwo.ca/cgi/viewcontent.cgi?article=1036&context=symposium
    philosophie foucault
  • 30 ans de Sciences du jeu à Villetaneuse. Hommage à Jacques Henriot Sommaire
    La réalisation de ce premier numéro de Sciences du jeu a été rendue possible grâce au soutien de l’Université Paris 13, du labex ICCA, et de la Française des Jeux à travers le forum Jeu et Sociétés. L’Université du Québec à Montréal a pris en charge la conception du logo.
    Mon Aug 26 22:40:29 2013 - permalink -
    - http://www.sciencesdujeu.org/index.php?id=3
    jeu jeux_video
  • Noireaude : Ajenti – Un panel d’administration complet pour les serveurs Ubuntu, Debian, Red Hat, CentOS et FreeBSD
    Si la majeur partie des utilisateurs communs n’ont pas forcément besoin de monter un serveur, le moment venu se retrouver face à une interface entièrement en ligne de commande peut être déroutant et poser quelques problèmes à ceux qui voudraient s’y mettre. Ajenti est un projet open Source qui va vous aider dans cette tâche, en vous fournissant une interface graphique facile à prendre en main, vous permettant de gérer en local ou à distance votre serveur Ubuntu, Debian (et dérivés), Red Hat, CentOS, etc …
    Thu Aug 8 12:42:14 2013 - permalink -
    - http://www.planet-libre.org/index.php?post_id=14800&go=external
    logiciel_libre site
  • Yop : sshuttle - VPN / SSH
    sshuttle est a mi-chemin entre le VPN et le port forwarding SSH.
    Il permet en gros, de faire une sorte de VPN avec juste un serveur SSH en face.

    Concrètement, je l'utilise surtout lorsque je suis connecté à des réseaux type "Wifi Hotel".
    Je connecte sshuttle vers mon Raspberry chez moi, en écoute en SSH (port 80 et authentification uniquement par clé).
    De cette manière tout ce qui sort de mon pc est chiffré quand il passe sur le réseau Wifi, y compris mon trafic Internet, qu'il soit fait par mon navigateur, ou même un simple apt-get.
    Mon Jul 29 10:56:18 2013 - permalink -
    - http://blog.uggy.org/post/2013/07/28/sshuttle-VPN-/-SSH
    GNU/Linux securite
  • Dmidecode : un outil pour obtenir plein d'infos sur le matériel de son ordinateur | crowd42crowd42
    Il arrive parfois qu’on ait besoin de connaître la marque et modèle du matériel de son ordinateur. Ça peut être utile par exemple si vous cherchez à installer à pilote qui vous manque, collecter le maximum d’informations pour diagnostiquer un problème, ou tout simplement pour upgrader son matos. Et sous GNU/Linux, on a la chance de disposer de plusieurs outils, pour générer ces rapports. L’un d’eux est Dmidecode.
    Thu May 30 00:14:06 2013 - permalink -
    - http://www.crowd42.info/dmidecode-un-outil-pour-obtenir-plein-dinfos-sur-la-materiel-de-son-ordinateur
    logiciel_libre GNU/Linux
  • Chattr : une commande pour empêcher la suppression des fichiers et répertoires | crowd42crowd42
    Qui n’a jamais supprimé ou effacer un fichier ou un dossier par erreur ? Je pense que c’est une chose qui est arrivée au moins une fois dans notre vie (bon moi c’est plusieurs fois, mais ça compte pas dans les statistiques, car je crois être un cas très spécial :p).

    Pourtant sur les systèmes GNU//Linux, il existe une commande qui aurait pu m’épargner quelques crises de nerfs, si j’avais été au courant de son existence un peu plus tôt. Cette commande c’est chattr. Elle permet de sécuriser un fichier ou un répertoire en rendant leur suppression impossible, même avec les droits root.
    Thu May 30 00:11:52 2013 - permalink -
    - http://www.crowd42.info/chattr-une-commande-pour-empecher-la-suppression-des-fichiers-et-repertoires
    logiciel_libre GNU/Linux
  • Technique et esthétique - 3 | 1999
    Sans doute un examen attentif en viendrait-il à montrer qu'une formule du type "art et/ou technique" pourrait bien condenser à sa manière l'énigme de notre temps, d'un temps qui se reconnaîtrait pourvu, jusqu'à l'excès, d'une pensée de l'art sans invention d'art, et d'une profusion de technique sans pensée de la technique. Mais l'une et l'autre, notons-le, réunies dans leur commune opposition à ce qu'on appelle encore parfois "la nature". Telles sont, du moins, les apparences, nos apparences - et il y a sans doute autre chose à penser. Jean-Luc Nancy, Les Muses, Paris, Galilée, 1994.
    Sun Dec 9 15:36:32 2012 - permalink -
    - http://leportique.revues.org/index289.html
    philosophie
  • Gilles Deleuze et Félix Guattari : Territoires et devenirs - 20 | 2007
    Oui je crois qu’il existe un peuple multiple, un peuple de mutants, un peuple de potentialités qui apparaît et disparaît, s’incarne en faits sociaux, en faits littéraires, en faits musicaux. Il est courant qu’on m’accuse d’être exagérément, bêtement, stupidement optimiste, de ne pas voir la misère des peuples. Je peux la voir, mais... je ne sais pas, peut-être suis-je délirant, mais je pense que nous sommes dans une période de productivité, de prolifération, de création, de révolutions absolument fabuleuses du point de vue de l’émergence d’un peuple. C’est ça la révolution moléculaire : ce n’est pas un mot d’ordre, un programme, c’est quelque chose que je sens, que je vis dans des rencontres, dans des institutions, dans des affects aussi à travers quelques réflexions.Félix Guattari, 1982, in Félix GUATTARI, Suély ROELNIK, Micropolitiques, Paris, Les Empêcheurs de penser en rond, 2007, p. 11.
    La santé comme la littérature consiste à inventer un peuple qui manque. Il appartient à la fonction fabulatrice d’inventer un peuple. On n’écrit pas avec ses souvenirs, à moins d’en faire l’origine ou la destination collectives d’un peuple à venir encore enfoui sous ses trahisons et ses reniements. La littérature américaine a ce pouvoir exceptionnel de produire des écrivains qui peuvent raconter leurs propres souvenirs, mais comme ceux d’un peuple universel composé par les émigrés de tous les pays. ...Précisément, ce n’est pas un peuple appelé à dominer le monde. C’est un peuple mineur, éternellement mineur, pris dans un devenir-révolutionnaire.Gilles DELEUZE, Critique et clinique, Paris, Éditions de Minuit, 1993, p. 14.
    en hommage à François Zourabichvili
    Sun Dec 9 15:35:13 2012 - permalink -
    - http://leportique.revues.org/index1350.html
    philosophie
  • Activisme professionnel : masochisme, compulsivité ou aliénation ? - Cairn.info
    Dans l’analyse étiologique des troubles psychopathologiques liés au travail, en particulier dans les cas de suicide, il est difficile de faire la part entre ce qui ressortit en propre aux contraintes de travail, ce qui procède de l’idiosyncrasie du sujet et ce qui vient des conflits de l’espace privé. En cas d’hyperactivité professionnelle, on se heurte aux mêmes difficultés d’analyse. Quelle contribution la référence à la théorie en psychodynamique du travail peut-elle apporter à l’investigation étiologique de l’hyperactivité professionnelle ?

    2 Quelques précisions sur l’usage du terme doivent d’abord être envisagées. « L’hyperactivité professionnelle » est une notion strictement descriptive et ne préjuge pas de ses causes. On peut admettre qu’il y a hyperactivité professionnelle sur la base d’une observation extérieure, par simple comparaison avec le temps consacré au travail par les membres d’une communauté de référence. Dans ce cas, le jugement d’hyperactivité ne porte que sur la quantité de travail ou la durée du travail et ne concerne pas la qualité du travail dont on sait qu’elle n’est pas évaluable par l’observation directe (Dejours, 2001). Mais on peut aussi admettre qu’il y a hyperactivité lorsque c’est le sujet lui-même qui prétend ne pas parvenir à diminuer une charge de travail qu’il juge pourtant excessive. Dans ce cas, le diagnostic ne relève pas de l’observation par un tiers, mais de l’allégation du sujet selon lequel l’excès de travail lui est imposé ou s’impose à lui, malgré qu’il en ait.

    3 Ce qu’on appelle « workaholism », en revanche, est un diagnostic qui désigne à la fois une conduite et une cause précise : la compulsion, la dépendance psychique à l’égard de l’activité et l’incapacité de s’octroyer et de jouir de temps de repos. La conception étiologique sous-jacente fait plus ou moins rigoureusement référence à la théorie de l’addiction (McDougall, 1978).

    4 Le terme d’hyperactivité professionnelle renvoie à la notion d’activité qu’il convient ici de distinguer de celle d’action. L’activité désigne essentiellement des gestes, des postures, des processus cognitifs et un engagement de l’affectivité et du corps dans l’intelligence pratique, qui, comme l’intelligence rusée, sont vectorisés vers l’efficacité du faire, dans le monde objectif. C’est la référence à la rationalité cognitive-instrumentale qui fournit ici, exclusivement, les critères d’évaluation de l’activité ou de l’hyperactivité. La notion d’action implique, quant à elle, la réflexion du sujet sur les conséquences que son activité peut avoir sur autrui. Les critères d’appréciation se situent alors non seulement dans le registre de l’efficacité, comme pour le gestionnaire ou le manager (l’agir stratégique relève encore de la stricte rationalité cognitive instrumentale), mais dans le registre moral. En d’autres termes, l’action suppose la référence explicite à la rationalité axiologique et aux incidences morales et politiques du « travailler ». Le diagnostic d’hyperactivité ne contient aucune référence à la dimension de l’action dans le travail.

    5 L’hyperactivité, comme l’activité, engage d’abord la subjectivité du travailleur parce qu’il n’y a pas d’activité ni d’habileté professionnelle sans subjectivation de la matière, de l’outil ou de l’objet technique (Subjektivierendes Handeln, Böhle et Milkau, 1991). Mais le fait est qu’à partir d’un certain niveau d’intensité (de cadence par exemple) ou d’extensivité (la durée de la journée de travail par exemple), l’activité entre en concurrence avec la subjectivité. La surcharge de travail met en péril les conditions nécessaires au jeu du fantasme, de l’imagination et de l’affectivité. L’expérience la plus éloquente des effets délétères de l’hyperactivité sur la subjectivité a été donnée par « la double tâche » étudiée en particulier par Kalsbeeck (1985). Mais il y a d’innombrables illustrations de cette situation, aussi bien dans les études sur le stress (Stora, 1997 ; Dolan et Arsenault, 1980) qu’en psychopathologie du travail (Bégoin, 1957) ou en philosophie (Simone Weil, 1941).
    Sun Dec 2 09:31:36 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-travailler-2004-1-page-25.htm
    psychanalyse
  • Aliénation et clinique du travail - Cairn.info
    Discuter la notion d’aliénation à partir de la psychodynamique du travail c’est se mettre, d’entrée de jeu, en conflit avec deux traditions : avec la tradition psychiatrique, qui réserve à l’aliénation un sens excluant toute référence à la clinique du travail ; avec la tradition politique, qui cultive la méfiance à l’égard du psychologisme. Pourtant, la psychodynamique du travail repose sur une clinique qui se situe empiriquement entre pathologie et organisation du travail, entre sujet et rapports sociaux.

    2 Si le travail est en cause dans les pathologies mentales, l’est-il à titre de cause ? Comme travail aliéné ou travail aliénant s’opposant à l’homme en tant qu’être générique : « Dire que l’homme est un être générique, c’est dire que l’homme s’élève au-dessus de son individualité subjective, qu’il reconnaît en lui l’universel objectif et se dépasse ainsi en tant qu’être fini. Autrement dit, il est individuellement le représentant de l’Homme » (E. Bottigelli, 1972, p. 61) ? Soit ! Mais comment, alors, définir le travail aliéné ? Et à supposer qu’on soit en mesure d’en donner les caractéristiques, est-il certain que le travail aliéné soit toujours aliénant ? L’être humain, en effet, ne se laisse pas si facilement aliéner qu’on pourrait le croire. Et de surcroît, il s’avère que, même aliéné, le travail est souvent moins délétère que la privation de travail. Et si l’on pousse plus loin encore la contradiction, on trouvera aussi des situations où le travail, même dominé, apparaît comme un moyen d’accomplissement de soi, voire comme un médiateur de l’émancipation.

    3 Est-il possible de mettre de l’ordre dans les données tellement contradictoires de la clinique ? L’exercice n’est pas évident, mais la notion d’aliénation chez Marx et les post-marxistes est suffisamment ouverte pour qu’on ose demander si la clinique du travail peut apporter une contribution à l’élaboration de son sens.

    4 Je partirai de quelques difficultés soulevées par les suicides au travail. J’examinerai ensuite les nouvelles pathologies qui surgissent actuellement dans le monde du travail pour introduire la notion « d’aliénation sociale ». Dans un troisième temps, je discuterai les rapports entre aliénation et rupture du lien avec le réel dans le champ du travail. J’aborderai, dans un quatrième temps, la critique de la raison fonctionnaliste avec laquelle on tente de rendre compte de l’aliénation et j’envisagerai les rapports entre aliénation et servitude volontaire dans le travail. Enfin, je reviendrai sur la quiddité de l’aliénation à la lumière de la clinique du travail.
    Sun Dec 2 09:30:19 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-actuel-marx-2006-1-page-123.htm
    psychanalyse
  • Évaluation et institution en psychanalyse - Cairn.info
    Il est de bon ton entre psychanalystes de dénoncer l’institution psychanalytique, d’ironiser et de persifler sur ses effets pervers, de l’accuser d’entrave à la liberté de pratiquer conformément à son intime conviction, de frelater jusqu’à l’originalité de la pensée de ses membres. L’institution ne serait qu’une machinerie à produire du conformisme et de la normalisation.

    2 Ces critiques ne sont pas toujours infondées. Mais elles le sont si elles sont proférées au nom du spontanéisme, c’est-à-dire de la glorification exclusive d’une fidélité infrangible à soi-même et à l’irréductibilité de l’expérience singulière que chacun possède, par-devers soi, de la psychanalyse.

    3 Le risque de dérive vers l’autoréférence est indissociable de la revendication d’une autonomie souveraine sans contrepartie. Conjurer le risque de l’autosuffisance et de l’arbitraire, cela passe par la confrontation au regard et à la critique de l’autre. Seulement, l’autre, ici, ce n’est pas seulement le patient, c’est avant tout le collectif de pairs.

    4 Mais un collectif de pairs, en quoi cela consiste-t-il ? Il s’agit non seulement d’une formation empirique, mais aussi d’un concept. Le collectif, ce n’est pas un groupe, c’est beaucoup plus que cela. Il existe en effet des groupes dont tous les membres pensent rigoureusement de la même façon. Sa forme caricaturale, la secte, est un groupe frappé par une normalisation radicale de ses membres. Le collectif est, au contraire, une formation qui s’est dotée d’instruments spécifiquement destinés à lutter contre la dérive sectaire. Or ces instruments, qui dépendent du nombre et de l’action concertée dans la pluralité, sont au principe de ce qu’on appelle le pouvoir instituant.

    5 La revendication d’autonomie et d’originalité, proférée par chaque analyste, n’est pas vaine mais elle ne se tient que comme différenciation ou singularisation par rapport à des références communes et partagées avec les membres d’un collectif. Avant que de s’autoriser à prendre de l’écart par rapport aux normes et aux valeurs de référence, l’analyste aurait d’abord à faire la preuve qu’il peut trouver l’accord avec la communauté d’appartenance (cette dernière n’étant que la forme élargie d’un collectif, jusqu’à une communauté de métier).

    6 Cet article vise à rassembler quelques-uns des constituants spécifiques du collectif, de la communauté d’appartenance et de l’institution, permettant d’éviter les risques de la normalisation, du dogmatisme et de la dérive sectaire. Il se trouve que, parmi ces constituants, une place particulière revient à l’évaluation. Je propose de commencer par une discussion sur l’évaluation et de n’en venir au pouvoir instituant que dans un deuxième temps.
    Sun Dec 2 09:28:46 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2006-4-page-947.htm
    psychanalyse
  • Psychologie clinique: Carl Rogers (1902-1987) et l’Approche Centrée sur la Personne
    Tout d’abord, pourquoi ce thème ? L’approche centrée sur la personne (ACP) s’est développée à partir des années 40 aux Etats-Unis et est devenue l’un des principaux courants de la psychologie clinique aux USA, alors qu’en Europe francophone,  elle ne figure pas parmi les courants les plus représentés chez les cliniciens et restent relativement méconnue du grand public. Elle est à la base de ce qui constitue le courant humaniste, et bien des obédiences lui accordent volontiers une place dans leur genèse.

    Rogers est un fondateur majeur de la recherche scientifique en psychothérapie : il est le premier à s’être intéressé de façon systématique à l’étude des facteurs explicatifs de l’efficacité de la psychothérapie. Paradoxalement, il est actuellement chez nous l’un des moins enseignés à l’université.
    Sat Nov 24 13:27:39 2012 - permalink -
    - http://www.podcastscience.fm/dossiers/2012/11/20/psychologie-clinique-carl-rogers-1902-1987-et-lapproche-centree-sur-la-personne/
    psychologie
  • Revue Dialogue 2007/2, Demandes éducatives dans le travail thérapeutique - Cairn.info
    Les praticiens travaillant avec des familles sont aujourd’hui de plus en plus souvent confrontés à des demandes de conseils en matière d’éducation. Le lien entre psychanalyse et éducation n’est pas nouveau dans le champ du travail avec les familles, il avait donné lieu à un débat animé entre Anna Freud et Melanie Klein. A partir de repères théoriques et d’analyse de pratiques, ce numéro alimentera ce débat, à l’époque où la télévision, les médias laissent penser qu’un « bon » psychologue averti pourrait aussi devenir un guide pour les parent
    Sat Nov 3 11:50:03 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-dialogue-2007-2.htm
    psychanalyse
  • Revue Dialogue 2005/1, Parentalité et familles d'accueil - Cairn.info
    Le travail avec les parents des enfants placés suppose une nouvelle alliance parents-professionnels, celui-ci devant savoir renoncer à l’autorité incontestée, au confort des savoirs acquis. Le problème semble globalement être le même pour le partenariat avec les familles d’accueil. Quelles places leur offre-t-on dans cet accueil familial ? Leur dicte-t-on des modes de faire, leur impose-t-on un projet dont elles seront simples exécutrices, ou les associe-t-on totalement à une alliance éducative ? Prendre consciences des limites et des insuffisances du système, des carences de la pensée simplifiante, articuler entre eux tous les acteurs, faire des liens entre des entités que notre pensée doit nécessairement distinguer mais non isoler les unes des autres… tels sont les principes de la pensée complexe. Défi que les professionnels de terrain ont à relever.
    Sat Nov 3 11:49:09 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-dialogue-2005-1.htm
    psychanalyse
  • L’art-thérapie au secours de la communication
    L’utilisation de l’art en psychiatrie recouvre actuellement une multitude de pratiques dont les visions entrent souvent en conflit. Ces pratiques impliquent néanmoins une conception commune de l’art comme outil de communication. Une perspective selon laquelle la création se voit investie du rôle de « médiateur », capable de rétablir le contact entre, par exemple, le malade et le personnel soignant, ou entre l’aliéné mental, l’aliéné social qu’a fait de lui l’internement, et « l’extérieur ». Approcher l’art-thérapie à travers le prisme de la communication ne revient pas seulement à ouvrir un angle de recherche nouveau, mais conduit sur tout à interroger ce dispositif dans ses fondements et donc à le mettre en question.
    Fri Oct 26 01:07:26 2012 - permalink -
    - http://questionsdecommunication.revues.org/479
    psychologie
  • Revue Imaginaire & Inconscient 2001/4, Imaginaire de la violence
    Le terme français de « violence » implique l’idée d’une force intense et impétueuse. Dans « violence », il y a « viol ». Ce terme évoque des mots comme « brutalité », « véhémence », « fougue », « excès »
    Sat Oct 20 13:07:34 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-imaginaire-et-inconscient-2001-4.htm
    psychanalyse
  • Revue La lettre de l'enfance et de l'adolescence 2004/2, Peurs et terreurs d'enfance - Cairn.info
    « Même pas peur ! » entend-on dans les cours de récréation. Peur du noir, peur de l’eau, peur du loup…, les enfants connaissent ces peurs et la terreur qu’elles peuvent parfois provoquer. Les adultes se rappellent des leurs ou les ont oubliées… Elles sont souvent vécues comme le signe d’une fragilité. Certains tentent de les cacher, les dire rendrait encore plus vulnérables, d’autres cherchent à les apprivoiser en réclamant des histoires à faire peur ou en regardant des films d’horreur. La peur souvent attribuée à un objet est-elle un passage nécessaire dans la construction du psychisme ? Est-elle protectrice d’un narcissisme encore fragile ? Quelle différence peut-on faire entre peur, terreur, angoisse, phobie ?
    Sat Oct 20 11:50:12 2012 - permalink -
    - http://www.cairn.info/revue-lettre-de-l-enfance-et-de-l-adolescence-2004-2.htm
    psychanalyse
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